Au fil des années, la croissance démographique et les progrès technologiques ont eu un impact important sur l’environnement, et les êtres humains sont plus attentifs à l’élaboration de stratégies pour lutter contre ce problème.
En ce sens, les poussettes n’ont pas été l’exception et, aujourd’hui, une nouvelle façon de les développer est proposée par l’utilisation de bouteilles en plastique qui ont été recyclées.
Cette stratégie n’est pas récente, car les entreprises qui fabriquent des vêtements de bonne qualité, comme Nike, utilisent déjà ces méthodes pour proposer des pièces plus respectueuses de l’environnement.
Le fait est que ce type de matériau offre une très bonne résistance, ce qui fait que le produit dure beaucoup plus longtemps qu’on pourrait le penser, mais entraîne une nette réduction des dépenses pour l’utilisation des matières premières, qui, il faut le noter, ne sont pas une source d’approvisionnement infinie.
Le problème est qu’il a été déterminé que ce nouveau modèle de production ne cause aucun dommage à la conception des chariots, ce qui leur permet de conserver une structure identique à celle des chariots fabriqués avec des matériaux non recyclés.
L’idée est de poursuivre le même mode de vie, avec les mêmes installations et les meilleurs produits, mais en veillant à ce que notre inlassable consommation de produits n’ait plus autant de conséquences sur l’environnement. En fin de compte, cela nous donne un double avantage : nous serons plus responsables et nous protégerons l’environnement afin que les générations futures puissent également en bénéficier.
Le fait est que le système de consommation responsable repose sur quatre phases de travail, à savoir
- Réduire : Il s’agit de la consommation de produits visant à empêcher la massification de la production de continuer à croître. C’est un fait que la plupart d’entre nous ont des milliers de choses à la maison que nous n’utilisons pas, mais nous en achetons encore plus chaque jour.
- Réutiliser : Souvent, de nouvelles idées émergent sur la manière dont nous pouvons tirer parti de choses que nous avons cessé d’utiliser pour une raison quelconque, en leur donnant une chance d’avoir une seconde vie.
- Recycler : le temps de tout jeter ensemble est passé. Aujourd’hui, il est juste et nécessaire d’apprendre à classer les déchets et à donner à chaque élément son espace afin que certaines choses puissent être réutilisées.
- Récupérer : Si les produits sont endommagés ou présentent un problème quelconque, il sera toujours plus avantageux de chercher un moyen de résoudre le désagrément avant de prendre comme solution d’aller en acheter un nouveau.
Le comportement des générations passées et présentes
Les études sur le recyclage ont permis d’établir certains modèles de comportement en fonction des groupes d’âge. Les personnes appartenant aux générations nées avant 1980 montrent une nette résistance à ces nouveaux modes de travail pro-environnemental.
Entre-temps, les nouvelles générations (connues sous le nom de Milennials et de Génération Z) ont promu un système de travail beaucoup plus écologique, où leur mode de vie est basé sur l’administration des ressources et la gestion d’une coutume beaucoup plus attachée à la nature, non seulement en termes de recyclage, mais aussi dans la pratique d’une alimentation plus saine.
Ainsi, la production autour de nouvelles méthodes écologiques ne fait pas seulement partie des projets à huis clos des industries, elle est aussi conçue comme une demande de leurs consommateurs actuels, qui ont tendance à voir d’un très bon œil l’utilisation des produits d’occasion et à pratiquer avec le sourire les idées de réutilisation fournies par des médias tels que Youtube ou Instagram.
Maintenant, les millénaires sont les parents
Aujourd’hui, avec le changement des rôles, les millénaires se sont multipliés et commencent à former leurs propres familles, mais cela n’a pas entraîné de variations dans leur façon de penser en matière de consommation de produits.
Oui, ils savent que leurs enfants ont besoin de certaines choses et oui, ils sont prêts à leur donner ces choses, mais cela ne signifie pas qu’ils seront influencés par une quelconque offre sans avoir soigneusement évalué ce qu’elle est.
Avec ces connaissances à portée de main, les voitures hybrides existent déjà et Bugaboo est l’une des premières marques à s’aventurer dans cette direction, avec la proposition de la Bugaboo Fox, une version de poussette qui conserve toutes les caractéristiques auxquelles nous sommes habitués à cette marque, avec des designs exclusifs et conçus pour les couples d’aujourd’hui, mais offrant la possibilité de les réutiliser sans aucun inconvénient.
Leur idée est de baser le cycle de production sur les capuches et les matériaux textiles. Ainsi, les parents auront la possibilité d’apporter les modifications qu’ils jugent pertinentes en fonction de l’usage qu’ils feront de leur poussette.
L’une des principales préoccupations à ce sujet est que le produit final ait la force attendue. Eh bien, pour donner confiance à ses utilisateurs, Bugaboo travaille avec environ 92 bouteilles en plastique recyclées comme base de production textile.
Dans le cas du châssis, qui est la structure qui conservera une durabilité beaucoup plus élevée, on utilise un aluminium haute résistance, qui non seulement est capable de supporter le poids et les mouvements du bébé, mais qui maintient également un concept ultra-léger et conçu de manière à pouvoir accompagner ses utilisateurs pendant que leur premier, deuxième et même troisième enfant en a besoin.
Outre tous ces avantages au niveau environnemental, il est clair qu’elle génère également un impact très précieux sur l’économie familiale, puisque la partie qui coûte le plus cher dans une poussette (le squelette) ne devra être payée qu’une seule fois, le reste pouvant ainsi être actualisé au moment voulu, ce qui donne à chaque bébé la possibilité de montrer une poussette totalement différente à son grand frère.
En résumé, nous pouvons dire que cette nouvelle formule apporte beaucoup plus d’avantages que les systèmes de production précédents, car en plus de réduire l’impact environnemental, elle contribue également à des économies financières.